mardi 10 juin 2008
jeudi 23 août 2007
Remerciements
Je pense que des remerciements s'imposent pour ce voyage et j'ai plein de monde à remercier !
A commencer par mes parents, qui m'ont autorisé a partir au bout du monde malgré pluies et vents, et qui m'ont permis de ne pas mourir de faim sur place,
A toute les personnes qui m'ont aidé pour la préparation de mon dossier/projet, et pour n'écorcher aucun noms je vais me contenter de "clins d'oeils" : donc a l'administration du bahu (oui quand même), et à ma professeure de français (ou "professeur" sans "e" puisque certains me disent qu'on peut et doit marquer avec "e" et d'autres sans), aux deux membre de l'organisation zellidja, anciens lauréats qui nous ont conseillé pour le dossier, et a toute la fondation zellidja pour son organisation et pour m'avoir permi de vivre une expérience plus qu'unique !
Je pense que je dois aussi remercier tout ceux qui ont suivi ce blog régulièrement. Je suis certain au moins que je ne l'ai pas fait pour rien, et qu'il me servira. Et si j'avais su qu'il avait autant de succes pendant que je l'écrivais... je n'aurais probablement pas écrit autant (ou en tout cas pas la même chose). Donc je suis content d'avoir tout de même pu partager mon expérience et je suis prêt à recommencer l'an prochain. Maintenant, il me faut faire un compte-rendu solide et espérer qu'il soit assez bien pour que l'on me propose une seconde bourse de voyage (j'ai déjà quelques petites idées pour ne pas dire plein !)
Je mettrais mon compte-rendu en ligne sur ce blog, ce qui constitura aussi sa cloture. Et d'ici là, je crois que je n'ai plus rien à y ajouter.
S'il y en a qui ont des question sur ce voyage, ou bien qui veulent plus d'explications sur un moment précis ou... bref je n'sais pas... bein vous pouvez toujours poster un commentaire, et j'y répondrais par un article le plus précis possible (difficil la précision... alors que je m'apperçois que j'oublie ce que j'ai pu éprouver durant mon voyage trop rapidement).
A commencer par mes parents, qui m'ont autorisé a partir au bout du monde malgré pluies et vents, et qui m'ont permis de ne pas mourir de faim sur place,
A toute les personnes qui m'ont aidé pour la préparation de mon dossier/projet, et pour n'écorcher aucun noms je vais me contenter de "clins d'oeils" : donc a l'administration du bahu (oui quand même), et à ma professeure de français (ou "professeur" sans "e" puisque certains me disent qu'on peut et doit marquer avec "e" et d'autres sans), aux deux membre de l'organisation zellidja, anciens lauréats qui nous ont conseillé pour le dossier, et a toute la fondation zellidja pour son organisation et pour m'avoir permi de vivre une expérience plus qu'unique !
Je pense que je dois aussi remercier tout ceux qui ont suivi ce blog régulièrement. Je suis certain au moins que je ne l'ai pas fait pour rien, et qu'il me servira. Et si j'avais su qu'il avait autant de succes pendant que je l'écrivais... je n'aurais probablement pas écrit autant (ou en tout cas pas la même chose). Donc je suis content d'avoir tout de même pu partager mon expérience et je suis prêt à recommencer l'an prochain. Maintenant, il me faut faire un compte-rendu solide et espérer qu'il soit assez bien pour que l'on me propose une seconde bourse de voyage (j'ai déjà quelques petites idées pour ne pas dire plein !)
Je mettrais mon compte-rendu en ligne sur ce blog, ce qui constitura aussi sa cloture. Et d'ici là, je crois que je n'ai plus rien à y ajouter.
S'il y en a qui ont des question sur ce voyage, ou bien qui veulent plus d'explications sur un moment précis ou... bref je n'sais pas... bein vous pouvez toujours poster un commentaire, et j'y répondrais par un article le plus précis possible (difficil la précision... alors que je m'apperçois que j'oublie ce que j'ai pu éprouver durant mon voyage trop rapidement).
vendredi 17 août 2007
les phases d'un voyage
Voilà. Il y a plusieurs phases dans un voyage. La première c'est avant le départ. Phase de stress, et de peur. Ou on est perdu alors qu'on n'est pas parti. Cette phase est de loin la plus embêtante pour rester poli. Stress, peur, joie... on jongle avec des sentiment que l'on ne connait pas vraiment. Parce que ce n'est pas une peur qui fait monter l'adrénaline. C'est plus quelque chose qui prend à la gorge, comme un problème à l'école... une mauvaise note, peur d'un prof sadique... (parole d'élève connaisseur)... presque ça. Et puis on se pose tout plein de questions... "qu'est-ce que je vais faire ? où je vais aller ? pourquoi j'ai été assez fous pour avoir une telle idée ? Mais qu'est-ce que j'ai dans la tête ? Est-ce qu'il mangent beaucoup de poisson ?". Oui, certaines questions, et d'autres... toute inutiles. Alors vient le temps de la préparation qui fait peur elle aussi... avec tout ses "au cas où"... "tien ! voilà une lampe-torche au cas où, et je t'ai aussi trouvé une couverture de survie. Ah et voilà un réchaud. On n'sais jamais"... Cette horrible phase prend fin dans l'avion. Premier instant où l'on est aussi seul. Cet instant ou l'on pense sans imaginer des conneries... Cet instant représente la seconde phase : on ouvre les yeux (et les oreilles).
Et cette seconde phase ouvre sur des perspectives de liberté infinie ! On regarde les gens, on veut leur parler, leur raconter notre vie, et écouter leur histoire, on veut imaginer leur histoire, et on se heurte aux barrières linguistiques... C'est dans ces moments là qu'on sais soudain parler le langage des signes. voyage à l'italienne... ça se fait dans le monde entier. Cette phase dure très longtemps. Et elle dure en fonction des gens et de leurs expériences. On arrive à destination, on découvre émerveillé, on apprend à vivre... techniques locales. Laver sa vaisselle dans la piscine... boire l'eau des gouttières, lire éclairé à la bougie, tout ça au 21ème siècle... oui ça s'apprend. On apprend à s'intégrer. On raconte notre vie, et on écoute celle des autres. C'est une phase passionnante, très enrichissante, ça oui ! on apprend tellement de chose... le maitre mot reste "découverte"... et puis on commence à fermer les yeux. troisième phase approche. "heimweh".
Cette troisième phase laisse la perspective de liberté devant les yeux... mais les yeux fermé, cela ne sert à rien. On en a assez. On veut revoir sa famille, ses amis, sa chambre, la pluie et le mauvais temps nous manque, les sorties à paris, jusqu'au simple fait de conduire une voiture. Cette phase est une phase à trous. Qui s'efface à chaque conversations sur internet, à chaque coups de fils. Ce n'est pas la phase la moins bien. En un sens, elle fait partie de l'intégration. Cette phase durant laquelle on ne fait plus vraiment d'efforts pour parler avec les gens. Se sont les gens alors qui viennent parler. Je n'ai connu cette phase que sur quelques heures en fait. Quelques heures par-ci, quelques heures par-là. Tout dépend des gens et de l'expérience.
Et alors vient la quatrième phase. Celle ou on se réjouit de rentrer. On souris, on regarde les gens pour la dernière fois. On place un peu de nostalgie dans nos discours "peut-être que l'on se reverra". C'est le retour des "qui sais", et on retrouve aussi quelques "au cas où". Mais la valise est déjà faite. Elle est toujours faite. On retire quelque chose de la valise... pour l'y remettre mieux. On ajoute quelques gris-gris, les souvenirs sont dans la tête. Tous frais. Certains pourtant déjà fripés, mais on ne s'en soucie pas. Pas encore.
Et débute le voyage de retour avec la cinquième phase. On organise son retour : prendre le bus, il ne faut pas se tromper, il faut prévoir à l'avance, trouver le bon terminal, trouver la porte d'embarquement, monter dans l'avion, et tout le reste se fait tout seul. On reste assis à penser. On pense alors à ce qu'on viens de vivre, et puis à ce qu'on va encore ivre. On se demande quel sera le prochain voyage. Et puis on se réjouit de rentrer. Les heures défilent, et chaque seconde nous rapproche de "heimat". Les mots défilent en anglais dans la tête, mais le français n'est pas loin, et l'allemand non plus. Il suffit d'un peu d'entrainement. Une phrase dans une langue, une seconde dans une autre, et une troisième, et une quatrième, et puis on reprend l'anglais, et c'est un exercice de jonglerie, ou on fait tomber des mots par terre au lieu de faire tomber des balles. Il suffit alors de les ramasser, et puis tout revient.
Et voilà. Le voyage est terminé. On retrouve sa famille, ses parents, ses frères et soeurs, on retrouve ses amis, on retrouve sa voiture, sa chambre, son ordinateur, on retrouve son pays et ses habitudes... Et c'est là qu'on s'aperçoit qu'on a déjà oublié ! C'est lorsque l'on raconte que l'on prend conscience... Les souvenirs de se que l'on a vécu sont intactes, mais se sont les sentiments qui manquent à l'appel. "Mais qu'ai-je donc ressenti lorsque les maoris ont chanté pour moi ? Probablement un mélange de fierté et d'admiration... oui. Mais ce mot "probablement" est de trop. Bien trop incertain à mon goût (et puis trop long dans tout les cas). J'attends de recevoir mon carnet que j'ai oublié sur place pour redécouvrir mon voyage à travers ce sixième sens. Parce que les photos ne suffisent pas.
En parlant de photo, c'est quelque chose que je peux toujours partager. Alors en voici quelques-unes.
Et cette seconde phase ouvre sur des perspectives de liberté infinie ! On regarde les gens, on veut leur parler, leur raconter notre vie, et écouter leur histoire, on veut imaginer leur histoire, et on se heurte aux barrières linguistiques... C'est dans ces moments là qu'on sais soudain parler le langage des signes. voyage à l'italienne... ça se fait dans le monde entier. Cette phase dure très longtemps. Et elle dure en fonction des gens et de leurs expériences. On arrive à destination, on découvre émerveillé, on apprend à vivre... techniques locales. Laver sa vaisselle dans la piscine... boire l'eau des gouttières, lire éclairé à la bougie, tout ça au 21ème siècle... oui ça s'apprend. On apprend à s'intégrer. On raconte notre vie, et on écoute celle des autres. C'est une phase passionnante, très enrichissante, ça oui ! on apprend tellement de chose... le maitre mot reste "découverte"... et puis on commence à fermer les yeux. troisième phase approche. "heimweh".
Cette troisième phase laisse la perspective de liberté devant les yeux... mais les yeux fermé, cela ne sert à rien. On en a assez. On veut revoir sa famille, ses amis, sa chambre, la pluie et le mauvais temps nous manque, les sorties à paris, jusqu'au simple fait de conduire une voiture. Cette phase est une phase à trous. Qui s'efface à chaque conversations sur internet, à chaque coups de fils. Ce n'est pas la phase la moins bien. En un sens, elle fait partie de l'intégration. Cette phase durant laquelle on ne fait plus vraiment d'efforts pour parler avec les gens. Se sont les gens alors qui viennent parler. Je n'ai connu cette phase que sur quelques heures en fait. Quelques heures par-ci, quelques heures par-là. Tout dépend des gens et de l'expérience.
Et alors vient la quatrième phase. Celle ou on se réjouit de rentrer. On souris, on regarde les gens pour la dernière fois. On place un peu de nostalgie dans nos discours "peut-être que l'on se reverra". C'est le retour des "qui sais", et on retrouve aussi quelques "au cas où". Mais la valise est déjà faite. Elle est toujours faite. On retire quelque chose de la valise... pour l'y remettre mieux. On ajoute quelques gris-gris, les souvenirs sont dans la tête. Tous frais. Certains pourtant déjà fripés, mais on ne s'en soucie pas. Pas encore.
Et débute le voyage de retour avec la cinquième phase. On organise son retour : prendre le bus, il ne faut pas se tromper, il faut prévoir à l'avance, trouver le bon terminal, trouver la porte d'embarquement, monter dans l'avion, et tout le reste se fait tout seul. On reste assis à penser. On pense alors à ce qu'on viens de vivre, et puis à ce qu'on va encore ivre. On se demande quel sera le prochain voyage. Et puis on se réjouit de rentrer. Les heures défilent, et chaque seconde nous rapproche de "heimat". Les mots défilent en anglais dans la tête, mais le français n'est pas loin, et l'allemand non plus. Il suffit d'un peu d'entrainement. Une phrase dans une langue, une seconde dans une autre, et une troisième, et une quatrième, et puis on reprend l'anglais, et c'est un exercice de jonglerie, ou on fait tomber des mots par terre au lieu de faire tomber des balles. Il suffit alors de les ramasser, et puis tout revient.
Et voilà. Le voyage est terminé. On retrouve sa famille, ses parents, ses frères et soeurs, on retrouve ses amis, on retrouve sa voiture, sa chambre, son ordinateur, on retrouve son pays et ses habitudes... Et c'est là qu'on s'aperçoit qu'on a déjà oublié ! C'est lorsque l'on raconte que l'on prend conscience... Les souvenirs de se que l'on a vécu sont intactes, mais se sont les sentiments qui manquent à l'appel. "Mais qu'ai-je donc ressenti lorsque les maoris ont chanté pour moi ? Probablement un mélange de fierté et d'admiration... oui. Mais ce mot "probablement" est de trop. Bien trop incertain à mon goût (et puis trop long dans tout les cas). J'attends de recevoir mon carnet que j'ai oublié sur place pour redécouvrir mon voyage à travers ce sixième sens. Parce que les photos ne suffisent pas.
En parlant de photo, c'est quelque chose que je peux toujours partager. Alors en voici quelques-unes.
Le lac de Roptorua le jour où j'ai le plus marché en Nouvelle-Zélande.
Sinon, je voulais ajouter que je suis surpris par moi-même. Parce que j'ai retrouvé mon allemand très rapidement. Alors que les mes parents d'accueil durant mon expérience en Allemagne sont passé deux jours à la maison, j'ai réussi à retrouvé mon vocabulaire allemand assez rapidement, et je ne sortais que rarement des mots anglais ans m'y attendre. Donc j'suis fier de moi. Voilà c'est tout.
samedi 11 août 2007
'just turning'
Je suis venu, j'ai vu, j'ai vécu.
Je peux maintenant dire haut et fort que je suis allé au bout du monde, que j'ai eu le cran de le faire, et je suis assez fier de ça. Le retour c'est fait sans problème notable. Après l'utilisation d'internet à l'aéroport de Séoul, je suis allé manger pour le petit-déjeuner, et puis je me suis baladé dans l'aéroport, a la recherche du Skip Bo. Introuvable. Et puis je me suis arrêté quelques seconde face a un "shop" qui présentait la culture coréenne. Et deux dames (coréennes) m'ont proposé de m'essayer a leur culture. Elle m'ont donné un éventaille en papier, des pinceaux, et ne m'ont donné qu'une seule rgle : ne pas mélanger les couleurs. J'ai eu besoin d'une petite heure pour peindre mon éventaille, après quoi la dame a écrit mon nom en coréen à l'arrière, et je suis allé a la porte d'embarquement de mon avion.
Je vous présente mon avion ? Un Boeing 747 bleu. Je ne peux pas ajouter de photos pour le moment... je ne sais pas pourquoi. Mais mon clique n'aboutit... à rien. En tout cas je me suis endormis sur les sièges avant l'embarquement pour me réveiller au moment ou les gens faisaient la queue... tout juste.
Et l'avion était non seulement le dernier que j'allais prendre, mais aussi le meilleur. Chaque passager avait un écran interactif à sa disposition, avec la possibilité de jouer aux échecs ou à d'autres jeux, d'écouter de la musique, de regarder des films, ou tout simplement de voire sur la carte du monde où nous étions et a quelle vitesse nous avancions, combien de km il restait etc.
J'ai naturellement fait planter le logiciel (en un temps reccord puisque nous n'avions pas encore décollé :p
Enfin j'ai pu passer un voyage assez agréable, et rentrer vivant et en bonne santée. Maintenant... j'ai du boulot. Un dossier à remplire, et j'ai commencé par effectuer des recherches de vidéos sur youtube, et je suis tombé sur cette vidéo que je voudrais vous partager : comment utiliser les "bolas". Cest objet utilisés dans les arts du cirque en France, sont des instrument de musique (pecussions) chez les maoris qui s'en servent donc pour marque le rythme de leur musique. Je vous met cette vidéo et je vais me coucher.
Je peux maintenant dire haut et fort que je suis allé au bout du monde, que j'ai eu le cran de le faire, et je suis assez fier de ça. Le retour c'est fait sans problème notable. Après l'utilisation d'internet à l'aéroport de Séoul, je suis allé manger pour le petit-déjeuner, et puis je me suis baladé dans l'aéroport, a la recherche du Skip Bo. Introuvable. Et puis je me suis arrêté quelques seconde face a un "shop" qui présentait la culture coréenne. Et deux dames (coréennes) m'ont proposé de m'essayer a leur culture. Elle m'ont donné un éventaille en papier, des pinceaux, et ne m'ont donné qu'une seule rgle : ne pas mélanger les couleurs. J'ai eu besoin d'une petite heure pour peindre mon éventaille, après quoi la dame a écrit mon nom en coréen à l'arrière, et je suis allé a la porte d'embarquement de mon avion.
Je vous présente mon avion ? Un Boeing 747 bleu. Je ne peux pas ajouter de photos pour le moment... je ne sais pas pourquoi. Mais mon clique n'aboutit... à rien. En tout cas je me suis endormis sur les sièges avant l'embarquement pour me réveiller au moment ou les gens faisaient la queue... tout juste.
Et l'avion était non seulement le dernier que j'allais prendre, mais aussi le meilleur. Chaque passager avait un écran interactif à sa disposition, avec la possibilité de jouer aux échecs ou à d'autres jeux, d'écouter de la musique, de regarder des films, ou tout simplement de voire sur la carte du monde où nous étions et a quelle vitesse nous avancions, combien de km il restait etc.
J'ai naturellement fait planter le logiciel (en un temps reccord puisque nous n'avions pas encore décollé :p
Enfin j'ai pu passer un voyage assez agréable, et rentrer vivant et en bonne santée. Maintenant... j'ai du boulot. Un dossier à remplire, et j'ai commencé par effectuer des recherches de vidéos sur youtube, et je suis tombé sur cette vidéo que je voudrais vous partager : comment utiliser les "bolas". Cest objet utilisés dans les arts du cirque en France, sont des instrument de musique (pecussions) chez les maoris qui s'en servent donc pour marque le rythme de leur musique. Je vous met cette vidéo et je vais me coucher.
"juste a combination of using your hand and just turning..."
jeudi 9 août 2007
Seoul
Je ne vais pas continuer sur les maoris pour le moment. Il faut que je recherche dans mes souvenirs, et dans mes notes... et la tout de suite... je suis trop flemard...
J'ai pris l'avion hier d'Auckland pour Seoul. Tres tres long... tres tres tres long meme... oh pi allez. Trop long ! Beaucoup trop long. Le siege aussi confortable soit-il apprend durant le voyage a faire mal. Mal partout. C'est dans c'est moment la qu'on se leve avec le pretexte d'aller au toilette simplement pour marcher... "marcher". J'ai dit marcher ? hem... marcher dans un avion. Oui c'est possible. Mais ce n'est pas le meilleur endroit. Enfin on se content de ce que l'on a. Et en parlant de se contenter... j'ai appris la vie de SDF cette nuit. Enfin plus ou moins. Allez. JE vous raconte.
Chaque seconde nous rapprochais de Seoul (dans tout les sens du terme). Et C'est avec une certaine apprehension que je descendais de l'avion... Qu'est-ce que je pouvais bien faire ? Il me fallais demander a l'aeroport d'Auckland si je voulais une chambre a Seoul... hors c'est ce que j'ai fais. Mais la dame, d'une humeure passagerement mauvaise, m'a repondu quelque chose d'incomprehensible que j'ai interprete comme "demerdes toi". Ok No problem. I'll ask in Seoul for a Hostel. Et puis nous sommes arrives a Seoul... et puis j'ai demande...
"Hi ! Euh... I'm sorry. But I come now, and I will go to France tomorrow. I don't know what to do. I think I'm allowed to go to a hostel in the town, or i can stay in the airport. That's why I ask... Can I find a hostel in the Airport ?" Le monsieur, un grand pride, aussi fier que son uniforme etait assez compatissant. Et ses explication etaient on ne peut plus claire... hotel ? oui Je pouvais y aller a l'hotel en ville. Il m'aurait fallu remplire tel papier et puis tel papier, et puis il a finis en me disant que l'hotel est tres cher...
"Ok I think I will stay in the Airport"
Et voila. Une foule de personne dans le grand aerport d'Incheon en Coree du Sud, et un petit point noir qui avance a contre courant. Deja il etait habille chaudement. On aurait cru qu'il rentrait de vacances de ski. Un sac sur le dos, un gros blouson double pour l'hiver, des gants, une echarpe, alors que tout le monde etait en jupe, en shirt et tee-shirt. Le point compris vite qu'il etait hors-jeu.
Et ce que j'ai fait ? Bein comme tout sans abris qui se respecte (a la difference pret que j'etais abrite par l'aeroport), j'ai cherche un coin ou je pourrais m'alonger pour dormir. Et j'ai des gouts de VIP... j'ai choisi un Lounge gratuit et ssez confortable. Un beau canape ? non pas un seul. Plein de beaux canapes ! J'ai choisi celui qui etait le plus dans un coin possible, et je me suis installe. le sac a dos sous les pieds pour sentir si quelqu'un avait al mauvaise idee de me le prendre, les blousons et l'echarpe sous la tete, le mini-sac avec mon argent sous les deux mains... j'etais pret a dormir. Nuit passablement agitee avec interphone de force 6 a 7 et intrus bruyant adeptes d'alcool et de soirees arosees en regardant la tele dans mon lounge... je me suis reveille toute les heures. Oh et j'ai fais plein de reves differents, mais je crois qu'un deux etait assez significatif... il fallait faire la queue. Nous attendions pour.... je ne sais pas pourquoi. Mais je ne pouvais plus attendre. Alors je suis monte sur la barriere, et j'ai saute... dans le vide. Puis j'ai tire sur le gilet, et mon parachutte est sorti. Je me dirigeais vers l'autoroute, puis vers la foret puis la montagne, et j'enclenchais le moteur qui me faisait gagner de l'altitude pour avancer encore, et je traversais oceans et mers... pour me reveiller en sursaut a cause d'un biiiip qui jouait avec un un ballon a cote de moi.
Bref. Cette nuit dans l'aerport restait tout de meme assez confortable et je n'ai eu ni chaud, ni froid.
Et quelle question en me reveillant ? la meme que je me susi pose a plusieurs reprise durant ce voyage... "comment vais-je tuer le temps aujourd'hui ?"
Voila. Tandis que je partais a la recherche d'un cafe/resto pour dejeuner, je susi tombe sur cet espace, ou l'acces a internet est gratuit. Oh grand bonheur, j'ai la une arme redoutable contre l'ennuie !
Sauf que maintenant, j'ai faim, alors il va falloir que je quitte se poste, et que je mange quelque chose. Je veux aussi partir a la recherche d'un jeu de carte que j;ai decouvert en Nouvelle-Zelande, mais qui etait beaucoup trop cher lorsque je l'ai vu a l'aeroport d'Auckland. Jeu de carte nomme "Skip Bo".
France ! I'm coming ! See you... today :D
J'ai pris l'avion hier d'Auckland pour Seoul. Tres tres long... tres tres tres long meme... oh pi allez. Trop long ! Beaucoup trop long. Le siege aussi confortable soit-il apprend durant le voyage a faire mal. Mal partout. C'est dans c'est moment la qu'on se leve avec le pretexte d'aller au toilette simplement pour marcher... "marcher". J'ai dit marcher ? hem... marcher dans un avion. Oui c'est possible. Mais ce n'est pas le meilleur endroit. Enfin on se content de ce que l'on a. Et en parlant de se contenter... j'ai appris la vie de SDF cette nuit. Enfin plus ou moins. Allez. JE vous raconte.
Chaque seconde nous rapprochais de Seoul (dans tout les sens du terme). Et C'est avec une certaine apprehension que je descendais de l'avion... Qu'est-ce que je pouvais bien faire ? Il me fallais demander a l'aeroport d'Auckland si je voulais une chambre a Seoul... hors c'est ce que j'ai fais. Mais la dame, d'une humeure passagerement mauvaise, m'a repondu quelque chose d'incomprehensible que j'ai interprete comme "demerdes toi". Ok No problem. I'll ask in Seoul for a Hostel. Et puis nous sommes arrives a Seoul... et puis j'ai demande...
"Hi ! Euh... I'm sorry. But I come now, and I will go to France tomorrow. I don't know what to do. I think I'm allowed to go to a hostel in the town, or i can stay in the airport. That's why I ask... Can I find a hostel in the Airport ?" Le monsieur, un grand pride, aussi fier que son uniforme etait assez compatissant. Et ses explication etaient on ne peut plus claire... hotel ? oui Je pouvais y aller a l'hotel en ville. Il m'aurait fallu remplire tel papier et puis tel papier, et puis il a finis en me disant que l'hotel est tres cher...
"Ok I think I will stay in the Airport"
Et voila. Une foule de personne dans le grand aerport d'Incheon en Coree du Sud, et un petit point noir qui avance a contre courant. Deja il etait habille chaudement. On aurait cru qu'il rentrait de vacances de ski. Un sac sur le dos, un gros blouson double pour l'hiver, des gants, une echarpe, alors que tout le monde etait en jupe, en shirt et tee-shirt. Le point compris vite qu'il etait hors-jeu.
Et ce que j'ai fait ? Bein comme tout sans abris qui se respecte (a la difference pret que j'etais abrite par l'aeroport), j'ai cherche un coin ou je pourrais m'alonger pour dormir. Et j'ai des gouts de VIP... j'ai choisi un Lounge gratuit et ssez confortable. Un beau canape ? non pas un seul. Plein de beaux canapes ! J'ai choisi celui qui etait le plus dans un coin possible, et je me suis installe. le sac a dos sous les pieds pour sentir si quelqu'un avait al mauvaise idee de me le prendre, les blousons et l'echarpe sous la tete, le mini-sac avec mon argent sous les deux mains... j'etais pret a dormir. Nuit passablement agitee avec interphone de force 6 a 7 et intrus bruyant adeptes d'alcool et de soirees arosees en regardant la tele dans mon lounge... je me suis reveille toute les heures. Oh et j'ai fais plein de reves differents, mais je crois qu'un deux etait assez significatif... il fallait faire la queue. Nous attendions pour.... je ne sais pas pourquoi. Mais je ne pouvais plus attendre. Alors je suis monte sur la barriere, et j'ai saute... dans le vide. Puis j'ai tire sur le gilet, et mon parachutte est sorti. Je me dirigeais vers l'autoroute, puis vers la foret puis la montagne, et j'enclenchais le moteur qui me faisait gagner de l'altitude pour avancer encore, et je traversais oceans et mers... pour me reveiller en sursaut a cause d'un biiiip qui jouait avec un un ballon a cote de moi.
Bref. Cette nuit dans l'aerport restait tout de meme assez confortable et je n'ai eu ni chaud, ni froid.
Et quelle question en me reveillant ? la meme que je me susi pose a plusieurs reprise durant ce voyage... "comment vais-je tuer le temps aujourd'hui ?"
Voila. Tandis que je partais a la recherche d'un cafe/resto pour dejeuner, je susi tombe sur cet espace, ou l'acces a internet est gratuit. Oh grand bonheur, j'ai la une arme redoutable contre l'ennuie !
Sauf que maintenant, j'ai faim, alors il va falloir que je quitte se poste, et que je mange quelque chose. Je veux aussi partir a la recherche d'un jeu de carte que j;ai decouvert en Nouvelle-Zelande, mais qui etait beaucoup trop cher lorsque je l'ai vu a l'aeroport d'Auckland. Jeu de carte nomme "Skip Bo".
France ! I'm coming ! See you... today :D
mardi 7 août 2007
Derniere ligne droite (mais pas dernier article)
C'est la fin de mon voyage. Je suis de retour a Auckland, et j'ai hate de prendre l'avion demain, de retrouver tout le monde.
J'ai pris le bus aujourd'hui pour retourner a aucland, et je suis content d'etre retourne a la meme auberge que d'habitude. La dame qui m'avait accueilli (ou plutot aide a partir en realite. Elle etait venu et m'avait laisse le message comme quoi je devais rappeller tel numero etc) s'est souvenu de moi, et a note mon amelioration en anglais :D Sur ma carte de fidelite, j'etais seulement a une nuit pret d'obtenir la nuit gratuite... et j'ai lorsque je le lui ai passe, je lui ai dit que c'etait ma derniere nuit en Nouvelle-Zelande. Elle a ete tres sympa a et ajoute deux petit points dessus en me disant que je n'avais pas besoin de payer cette nuit. :D Juste les 20 dollars pour la clef, que je recupererais demain et je m'en servirais pour payer le bus vers l'aeorport (hors de prix le bus... 15 dollars ! c'est presque le prix du bus entre auckland et rotorua (20 dollars)). Et j'aurais encore a payer la taxe de depart qui s'elleve a 25 dollars... tout est bon pour etre paye. Heureusement tout reste moins cher qu'en france.
Vous savez quoi ?? J'ai eu des informations sur les tatouages hier ! Suis arrive a l'entree d'un village maori, et il fallait payer l'entree... sauf que payer l'entree pour voir un chow... j'avais deja fait dans un autre village. alors je lui ai pose quelques questions sur les tatyouages, et oh ! miracle ! il a su me donner quelques renseignement que j'ai combine avec mes recherches a la bibliotheque quelques heures plus tard. Les tatouages sont preuves d'un statut social eleve. Plus le tatouage est grand sur le visage e tle corps, et plus on est une personne importante. Seule les enfants et les esclaves n'en avaient pas. Et il n'y a pas de distinctions entre les hommes et les femmes dans le sens ou ils ont tout deux des tatouages. En revanche, les femmes en ont un plus petit generalement situe autour des levres et sur le menton. Je presenterais des photos a mon retour.
Le tatouage servait aussi a effrayer l'enemi en temps de guerre. Lorsque le guerrier retirait sa tunique et que son corps etait fait d'une armure bleue, les adversaires en etait tout naturellement horrifies. La danse du Haka va aussi dans se sense.
Et je vais m'arreter la parce qu'il me reste 50 secondes d'internet.
JE RENTRE :D:D:D YOUHOU !
J'ai pris le bus aujourd'hui pour retourner a aucland, et je suis content d'etre retourne a la meme auberge que d'habitude. La dame qui m'avait accueilli (ou plutot aide a partir en realite. Elle etait venu et m'avait laisse le message comme quoi je devais rappeller tel numero etc) s'est souvenu de moi, et a note mon amelioration en anglais :D Sur ma carte de fidelite, j'etais seulement a une nuit pret d'obtenir la nuit gratuite... et j'ai lorsque je le lui ai passe, je lui ai dit que c'etait ma derniere nuit en Nouvelle-Zelande. Elle a ete tres sympa a et ajoute deux petit points dessus en me disant que je n'avais pas besoin de payer cette nuit. :D Juste les 20 dollars pour la clef, que je recupererais demain et je m'en servirais pour payer le bus vers l'aeorport (hors de prix le bus... 15 dollars ! c'est presque le prix du bus entre auckland et rotorua (20 dollars)). Et j'aurais encore a payer la taxe de depart qui s'elleve a 25 dollars... tout est bon pour etre paye. Heureusement tout reste moins cher qu'en france.
Vous savez quoi ?? J'ai eu des informations sur les tatouages hier ! Suis arrive a l'entree d'un village maori, et il fallait payer l'entree... sauf que payer l'entree pour voir un chow... j'avais deja fait dans un autre village. alors je lui ai pose quelques questions sur les tatyouages, et oh ! miracle ! il a su me donner quelques renseignement que j'ai combine avec mes recherches a la bibliotheque quelques heures plus tard. Les tatouages sont preuves d'un statut social eleve. Plus le tatouage est grand sur le visage e tle corps, et plus on est une personne importante. Seule les enfants et les esclaves n'en avaient pas. Et il n'y a pas de distinctions entre les hommes et les femmes dans le sens ou ils ont tout deux des tatouages. En revanche, les femmes en ont un plus petit generalement situe autour des levres et sur le menton. Je presenterais des photos a mon retour.
Le tatouage servait aussi a effrayer l'enemi en temps de guerre. Lorsque le guerrier retirait sa tunique et que son corps etait fait d'une armure bleue, les adversaires en etait tout naturellement horrifies. La danse du Haka va aussi dans se sense.
Et je vais m'arreter la parce qu'il me reste 50 secondes d'internet.
JE RENTRE :D:D:D YOUHOU !
lundi 6 août 2007
Finalement si.
Alors que j'allais vers le sud de la ville, ou il y a un show Maori et ou j'aurais peut-etre pu tirer quelques infos sur les tatouages, je suis tombe sur ce batiment... "Internet" 3$=1h. Aha ! voila un prix concurrentiel ! Digne d'Auckland ! mais ou suis-je ? Oui oui, je suis bien a Rotorua, et j'ai bien trouve un batiment qui propose un acces a internet pour "pas trop cher".
Et j'ai des nouvelles. Une soiree. La meilleur que j'ai passe en Nouvelle-Zelande. Hier. Aha. Mais il vaut mieux commencer par le debut.
En arrivant a Rotorua, et surtout en arrivant dans ma chambre, j'ai ete un peu (pour ne pas dire beaucoup) decu par les personnes de la chambre... comme je l'ai deja marque, je suis entre dans une chambre ou il fallait posseder des talents de gymnaste pour ne pas ecraiser un tube de maquillage, une creme ou je n'sais quelle connerie dans le genre (pardon). Et puis j'ai fait connaissance. Des filles sympa... mais un groupe. Hors aller s'integrer dans un groupe, surtout quand se sont des filles (qui ont leur centre d'interet), c'est difficil. Oh, j'etais content le lendemain quand elles ont quitte la chambre. J'avais la chambre pour moi tout seul. J'ai change de lit, pour en prendre un plus pratique d'acces et ou je ne risquais pas de tomber (les lits en hauteur font peur ici...), et puis soudain, c'est un autre groupe de fille qui rentre dans la chambre. "HI ! I'm Johann, from France". Bon, peut-etre qu'elles n'aimaient pas les francais. Il n'y a que la bresillienne qui m'a repondu et elle ne faisait pas partie du groupe (partie le lendemain alors que le groupe est partie 3 jours plus tard). Et me voila a devoir supporter des melanges d'odeurs (tout les parfums y sont passe et tout les soirs), et puis les gloussement a 2 heure du matin, et j'en passe... L'une d'entre elle m'exasperait tout particulierement lorsqu'elles rentraient a minuit, que j'etais confortablement endormis... et qu'elle allumait la lumiere et commencait a parler et rire a voix haute sans se soucier le moins du monde de qui pourrait dormir. Et bien sur, je n'aurais meme pas pu tenter de lui demander de la fermer... mon anglais n'est pas si bon que ca.
Et puis elles sont parties. Ouhou ! soulagement ! Enorme. Et ce fut une journee de joies sur joies qui en suivie. Depart des filles. J'ai a nouveau la chambre pour moi seul. Puis vint une nouvelle. Seule. Beaucoup plus facile pour parler que si c'etait un groupe. Je n'ai pas retenu son nom, mais j'ai bien compris qu'elle venait de finlande... "I'm from Finland" Premier choc ! MAH ! FINLANDE MON GAR ! le pays de Nightwish ! le pays de ta musique prefere ! Je sens que je vais bien m'entendre avec elle.
Et puis vint le second choc. Je vais a la cuisine pour manger quelque chose, et en revenant je decouvre un lit plein d'affaires. Pas de maquillage ? une seule valise ? oh, mais c'est un garcon ! Alors c'est bon, mais craintes sont supprime, ont ne s'est pas trompe en me mettant dans une chambre de fille :D OUF ! Et puis quelques minutes plus tard, je repars et reviens dans la chambre et il etait sur son lit. La phrase habituelle "Hi ! I'm Johann fro..." "hey ! salut" ("merde ! c'est du francais ?? attend j'ai pas bien du entendre ! je suis pas certain. Repete sa stp") "tu vas bien ?" ("Youhou ! alors il est vraiment francias ?? je vais pouvoir manger mes consonnes moi aussi ?? parler vite un peu, sans faire d'effort de concentration ?? ah ! le pied !")
Bon la suite va de soit. On se presente. Il fait le tour du monde en 2 mois, je suis la grace a Zellidja, je presente la fondation, il a 25, j'en ai 18. Tout vas bien. Puis je fais le guide tourristique. Sort tout mes papiers sur la ville, lui en refile un tas, et lui dit ce qu'il doit faire et voire absolument et ce qui ne vaut pas le coup. Puis je pars pour donner un coup de fil (j'ai oublie mon carnet de bord chez Anne ! La seule chose que je n'avais pas le droit d'oublier... je l'ai oublie... typique de moi ca.) Evidemment le coup de fil n'aboutit pas. c'est poisse sur poisse. je vais devoir leur demander de m'envoyer le carnet par la poste, alors que si je les avais eu hier soir au telephone, j'aurais pu arranger pour le retrouver a Auckland... foutu. MAis j'etais content. Content d'avoir pu parler francais, content de savoir que j'allais pouvoir poser des questions sur la finlande. Aha.
Bon et je susi rentre. C'etait le soir. J'ai mange (pates et conte, le dernier morceau de vrai fromage, je l'ai finis hier... snif). Et J'ai regarde la tele. Il y avait un film. Mais j'ai failli craquer... Il passe des publicite toute les 5 / 10 minutes ici ! Incroyable ! comment les gens font pour tenir en place ? Rester rive a regarder des gens parler d'un air debil a presenter un objet comme s'ils le tenaient d'une entite divine... Non en fait pour etre franc, je suis parti avant la fin. Et je suis rentourne dans la chambre. On discutte. a trois, en anglais (vite fait). Je leur explique qu'ils vont mal dormir parce qu'ils n'ont pas demande de couverture a la reception, et que la reception est ferme, donc pas possible d'en redemander. (je sais, je change de temps pour mes verbes... mais je suis pas en train de faire une redaction, alors je fais pas gaffe. les mots qui s'inscrivent sur cet ecrans ont a peine le temps de passer sous mes doigts).
Mais mes surprises dans cette journee ne s'arretaient pas la... Lorsque le francais (Pierre il s'appelle. Et c'est seulement une coincidence :D) me propose d'aller dans le bar en bas de l'auberge. Alle, c'est parti. Il m'invite. (sympa). Et on prend une bierre chacun. Et possedant un ticket pour en avoir une seconde gratuitement, nous ne nous privons pas d'une seconde bierre. mais avant de prendre la seconde, nous allons nous installer a une table pour discutter. La discussion se fait en francais bien sur, et sur nos voyages respectifs. Quand un gar qui fumait juste a cote de nous (nous etions dehors. Personne ne fume dans les bars ici) nous demande en francais "vous savez pas ou je pourrais trouver de l'herbe ?"... Nouveau choc ! Il parle francais ! et de l'herbe il y en a partout dans le parc en face de la rue... quelle question. Bon, je suis desole, je ne me drogue pas, alors je n'ai pas pu comprendre tres vite le sens de sa question. Honte a moi. Mais j'n'ai rien dit.
Il est venu s'assoir, nous avons discutte. Puis sa femme l'a rejoint, et puis une americaine qui apprend le francais et qui etait intrigue nous a rejoint, puis ses copines et enfin un grand gar qui faisait un peu peur. Nous avons discutte en anglais par respect pour ceux qui ne comprennent pas le francais, et parce que nous sommes ici pour parler anglais. Et ce fut rire sur rire. chacun avait une histoire a raconter. Chacun a vecu quelque chose ici ou ailleur dans le monde a faire partager. Et ainsi, nous avons fait le tour du monde en une petite heure. Parlant de l'inde, passant lar le laos, racontant la Nouvelle-Zelande, l'Australie, l'Indonesie, l'Amerique, la France, l'Allemagne, l'Autriche, et puis la conversation a devie sur la drogue... Chacun ici consommait (sauf moi). Et j'ai appris la "legalisation" en fonction des endroits et des moments. Par exemple, le liquide energetique (qui n'est pas une drogue, mais qui contiendrait des substances dangereuse, d'ou son interdiction en france), il y en a partout ici. Apparament le liquide contiendrait de l'utine de taureaux, ce quis erait toxique pour la legislation francaise. Je sais que durant mes premier jours a auckland, j'en ai pris une bouteille. Pensant "energetique, c'est bien ca pour la marche", et j'avais trouve sa vraiemnt degueu... Mais les autres ici aiment... chacun son truc.
Puis ils ont commence a parler des pillules... Interdites ici. Mais apparament il y aurait des pillules acceptees par le gouvernement qui serait a l'origine de leur production. Ce qui explique que j'ai vu ces pillules en vente dans le magasin bisare dont je parle dans un de mes articles. Et apparament ils veulent vendre a tout prix (les commercants) parce que ces pillules seront interdites a partir de l'an prochain.
Bon apres cette sequence drogue, nous avons parle de plein de sujets. Les etudes, comparaisons entre quelques pays, musique...
Et puis il y a eu cette crise de rire, avec le grand monsieur qui faisait peur. Crane rase, c'etait un gar tres imposant. Genre vigyle mais en plus grand encore. Et on apprend qu'il est le chauffeur des demoiselles venant des etats-unis. Qu'il doit simplement conduir le bus et passer du temps avec elles. Et des qu'il s'est retrouve seul avec nous, il a explose... Je comprenais a peine les trois quarts de ce qu'il disait, et j'etais extremement compatissant, voyant que je n'etais pas le seul a avoir vecu ce genre de merde... Il nous explique a toute vitesse qu'il a du supporter les filles pendant des heures de trajet, ou elle parlaient de la meilleur facon de se maquiller, de la meilleur facon dapprocher un garcon, de s'habiller... et puis il fait des grands gestes en parlant completement boulverse, et nous... plies de rire... J'ai saisi un "but I didn't gave a shit !" et puis une des americaine est revenu s'assoir a notre table, et le grand monsieur s'est calme soudainement, comme si rien ne s'etait passe... et nous etions ecroules de rire...
bref. toute les bonnes choses ont un fin, et je dois quitter internet...
Donc nous sommes alles nous coucher, et je vais aller passer la fin de ma journee dans un village maoris.
(juste recapitulatif parce que je susi content :D : 4 francias, une finlandaise, des americains, deux bierres, et des conversations en anglais ou je comprenais presque la totalite. genial)
Et j'ai des nouvelles. Une soiree. La meilleur que j'ai passe en Nouvelle-Zelande. Hier. Aha. Mais il vaut mieux commencer par le debut.
En arrivant a Rotorua, et surtout en arrivant dans ma chambre, j'ai ete un peu (pour ne pas dire beaucoup) decu par les personnes de la chambre... comme je l'ai deja marque, je suis entre dans une chambre ou il fallait posseder des talents de gymnaste pour ne pas ecraiser un tube de maquillage, une creme ou je n'sais quelle connerie dans le genre (pardon). Et puis j'ai fait connaissance. Des filles sympa... mais un groupe. Hors aller s'integrer dans un groupe, surtout quand se sont des filles (qui ont leur centre d'interet), c'est difficil. Oh, j'etais content le lendemain quand elles ont quitte la chambre. J'avais la chambre pour moi tout seul. J'ai change de lit, pour en prendre un plus pratique d'acces et ou je ne risquais pas de tomber (les lits en hauteur font peur ici...), et puis soudain, c'est un autre groupe de fille qui rentre dans la chambre. "HI ! I'm Johann, from France". Bon, peut-etre qu'elles n'aimaient pas les francais. Il n'y a que la bresillienne qui m'a repondu et elle ne faisait pas partie du groupe (partie le lendemain alors que le groupe est partie 3 jours plus tard). Et me voila a devoir supporter des melanges d'odeurs (tout les parfums y sont passe et tout les soirs), et puis les gloussement a 2 heure du matin, et j'en passe... L'une d'entre elle m'exasperait tout particulierement lorsqu'elles rentraient a minuit, que j'etais confortablement endormis... et qu'elle allumait la lumiere et commencait a parler et rire a voix haute sans se soucier le moins du monde de qui pourrait dormir. Et bien sur, je n'aurais meme pas pu tenter de lui demander de la fermer... mon anglais n'est pas si bon que ca.
Et puis elles sont parties. Ouhou ! soulagement ! Enorme. Et ce fut une journee de joies sur joies qui en suivie. Depart des filles. J'ai a nouveau la chambre pour moi seul. Puis vint une nouvelle. Seule. Beaucoup plus facile pour parler que si c'etait un groupe. Je n'ai pas retenu son nom, mais j'ai bien compris qu'elle venait de finlande... "I'm from Finland" Premier choc ! MAH ! FINLANDE MON GAR ! le pays de Nightwish ! le pays de ta musique prefere ! Je sens que je vais bien m'entendre avec elle.
Et puis vint le second choc. Je vais a la cuisine pour manger quelque chose, et en revenant je decouvre un lit plein d'affaires. Pas de maquillage ? une seule valise ? oh, mais c'est un garcon ! Alors c'est bon, mais craintes sont supprime, ont ne s'est pas trompe en me mettant dans une chambre de fille :D OUF ! Et puis quelques minutes plus tard, je repars et reviens dans la chambre et il etait sur son lit. La phrase habituelle "Hi ! I'm Johann fro..." "hey ! salut" ("merde ! c'est du francais ?? attend j'ai pas bien du entendre ! je suis pas certain. Repete sa stp") "tu vas bien ?" ("Youhou ! alors il est vraiment francias ?? je vais pouvoir manger mes consonnes moi aussi ?? parler vite un peu, sans faire d'effort de concentration ?? ah ! le pied !")
Bon la suite va de soit. On se presente. Il fait le tour du monde en 2 mois, je suis la grace a Zellidja, je presente la fondation, il a 25, j'en ai 18. Tout vas bien. Puis je fais le guide tourristique. Sort tout mes papiers sur la ville, lui en refile un tas, et lui dit ce qu'il doit faire et voire absolument et ce qui ne vaut pas le coup. Puis je pars pour donner un coup de fil (j'ai oublie mon carnet de bord chez Anne ! La seule chose que je n'avais pas le droit d'oublier... je l'ai oublie... typique de moi ca.) Evidemment le coup de fil n'aboutit pas. c'est poisse sur poisse. je vais devoir leur demander de m'envoyer le carnet par la poste, alors que si je les avais eu hier soir au telephone, j'aurais pu arranger pour le retrouver a Auckland... foutu. MAis j'etais content. Content d'avoir pu parler francais, content de savoir que j'allais pouvoir poser des questions sur la finlande. Aha.
Bon et je susi rentre. C'etait le soir. J'ai mange (pates et conte, le dernier morceau de vrai fromage, je l'ai finis hier... snif). Et J'ai regarde la tele. Il y avait un film. Mais j'ai failli craquer... Il passe des publicite toute les 5 / 10 minutes ici ! Incroyable ! comment les gens font pour tenir en place ? Rester rive a regarder des gens parler d'un air debil a presenter un objet comme s'ils le tenaient d'une entite divine... Non en fait pour etre franc, je suis parti avant la fin. Et je suis rentourne dans la chambre. On discutte. a trois, en anglais (vite fait). Je leur explique qu'ils vont mal dormir parce qu'ils n'ont pas demande de couverture a la reception, et que la reception est ferme, donc pas possible d'en redemander. (je sais, je change de temps pour mes verbes... mais je suis pas en train de faire une redaction, alors je fais pas gaffe. les mots qui s'inscrivent sur cet ecrans ont a peine le temps de passer sous mes doigts).
Mais mes surprises dans cette journee ne s'arretaient pas la... Lorsque le francais (Pierre il s'appelle. Et c'est seulement une coincidence :D) me propose d'aller dans le bar en bas de l'auberge. Alle, c'est parti. Il m'invite. (sympa). Et on prend une bierre chacun. Et possedant un ticket pour en avoir une seconde gratuitement, nous ne nous privons pas d'une seconde bierre. mais avant de prendre la seconde, nous allons nous installer a une table pour discutter. La discussion se fait en francais bien sur, et sur nos voyages respectifs. Quand un gar qui fumait juste a cote de nous (nous etions dehors. Personne ne fume dans les bars ici) nous demande en francais "vous savez pas ou je pourrais trouver de l'herbe ?"... Nouveau choc ! Il parle francais ! et de l'herbe il y en a partout dans le parc en face de la rue... quelle question. Bon, je suis desole, je ne me drogue pas, alors je n'ai pas pu comprendre tres vite le sens de sa question. Honte a moi. Mais j'n'ai rien dit.
Il est venu s'assoir, nous avons discutte. Puis sa femme l'a rejoint, et puis une americaine qui apprend le francais et qui etait intrigue nous a rejoint, puis ses copines et enfin un grand gar qui faisait un peu peur. Nous avons discutte en anglais par respect pour ceux qui ne comprennent pas le francais, et parce que nous sommes ici pour parler anglais. Et ce fut rire sur rire. chacun avait une histoire a raconter. Chacun a vecu quelque chose ici ou ailleur dans le monde a faire partager. Et ainsi, nous avons fait le tour du monde en une petite heure. Parlant de l'inde, passant lar le laos, racontant la Nouvelle-Zelande, l'Australie, l'Indonesie, l'Amerique, la France, l'Allemagne, l'Autriche, et puis la conversation a devie sur la drogue... Chacun ici consommait (sauf moi). Et j'ai appris la "legalisation" en fonction des endroits et des moments. Par exemple, le liquide energetique (qui n'est pas une drogue, mais qui contiendrait des substances dangereuse, d'ou son interdiction en france), il y en a partout ici. Apparament le liquide contiendrait de l'utine de taureaux, ce quis erait toxique pour la legislation francaise. Je sais que durant mes premier jours a auckland, j'en ai pris une bouteille. Pensant "energetique, c'est bien ca pour la marche", et j'avais trouve sa vraiemnt degueu... Mais les autres ici aiment... chacun son truc.
Puis ils ont commence a parler des pillules... Interdites ici. Mais apparament il y aurait des pillules acceptees par le gouvernement qui serait a l'origine de leur production. Ce qui explique que j'ai vu ces pillules en vente dans le magasin bisare dont je parle dans un de mes articles. Et apparament ils veulent vendre a tout prix (les commercants) parce que ces pillules seront interdites a partir de l'an prochain.
Bon apres cette sequence drogue, nous avons parle de plein de sujets. Les etudes, comparaisons entre quelques pays, musique...
Et puis il y a eu cette crise de rire, avec le grand monsieur qui faisait peur. Crane rase, c'etait un gar tres imposant. Genre vigyle mais en plus grand encore. Et on apprend qu'il est le chauffeur des demoiselles venant des etats-unis. Qu'il doit simplement conduir le bus et passer du temps avec elles. Et des qu'il s'est retrouve seul avec nous, il a explose... Je comprenais a peine les trois quarts de ce qu'il disait, et j'etais extremement compatissant, voyant que je n'etais pas le seul a avoir vecu ce genre de merde... Il nous explique a toute vitesse qu'il a du supporter les filles pendant des heures de trajet, ou elle parlaient de la meilleur facon de se maquiller, de la meilleur facon dapprocher un garcon, de s'habiller... et puis il fait des grands gestes en parlant completement boulverse, et nous... plies de rire... J'ai saisi un "but I didn't gave a shit !" et puis une des americaine est revenu s'assoir a notre table, et le grand monsieur s'est calme soudainement, comme si rien ne s'etait passe... et nous etions ecroules de rire...
bref. toute les bonnes choses ont un fin, et je dois quitter internet...
Donc nous sommes alles nous coucher, et je vais aller passer la fin de ma journee dans un village maoris.
(juste recapitulatif parce que je susi content :D : 4 francias, une finlandaise, des americains, deux bierres, et des conversations en anglais ou je comprenais presque la totalite. genial)
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